Desejo a todos um Novo Ano Novo, e peço para que leiam isso de forma pessoal.
Que não apenas o ano mude, mas mude seu olhar sobre o mundo; que não seja apenas um número diferente numa folha numa agenda, mas seja uma nova fase na sua vida!
Tempo de expansão, de introspecção, de reflexão. Tempo de renovação, use seu novo ciclo de vida a seu favor.
Enfim, desejo que 2005 seja o melhor ano da sua vida até agora!!!
Tem uma música em inglês chamada "felicidade é uma opção", faça a escolha certa.
Até o ano que vem!
Ana
segunda-feira, dezembro 27, 2004
sábado, outubro 30, 2004
La Constitution européenne L'Europe en marche
LE MONDE 29.10.04
VINGT-CINQ chefs d'Etat et de gouvernement ont signé, vendredi 29 octobre, la Constitution européenne, à Rome, sur la colline du Capitole. Au même endroit, en 1957, six premiers ministres avaient signé les traités dits de Rome qui instituaient le Marché commun.
En moins d'un demi-siècle, l'Europe unie s'est élargie. Elle a accueilli les frères séparés de l'autre côté du rideau de fer, grâce à l'effondrement du bloc communiste. Elle n'a pas seulement grandi en taille. Elle a étendu ses compétences des échanges économiques aux affaires monétaires, judiciaires, étrangères, militaires, humanitaires, sociales... Elle n'est pas encore cette Europe-puissance que les plus fervents Européens appellent de leurs vœux, mais elle se donne les moyens de le devenir.
Elle se dote en effet d'une Loi fondamentale qui est un peu moins qu'une vraie Constitution mais plus qu'un simple traité international. Elle le fait après plusieurs mois de débats au sein de la Convention qui, sous la présidence de Valéry Giscard d'Estaing, a réuni plus d'une centaine de représentants des Parlements et des gouvernements d'une trentaine de pays (les candidats ont été associés). C'était sans précédent dans l'histoire du Vieux Continent.
Certes les eurosceptiques ont tout loisir de trouver bien des défauts à cette Constitution. Pour les uns, elle va trop loin dans le sens de l'intégration en organisant le démantèlement des Etats-nations. Pour d'autres, elle est trop timide et ne propose qu'une version affadie des Etats-Unis d'Europe qu'ils souhaitent tout en les sachant irréalistes. Pour les troisièmes, elle représente le mode d'emploi de l'Europe libérale dans laquelle ils voient la fin du modèle français.
En réalité, le texte signé à Rome ne constitue qu'une étape sur la voie de l'intégration européenne, mais une étape qu'il serait irresponsable de négliger. Avec la Constitution, l'Union européenne aura une présidence stable, un ministre des affaires étrangères et un service diplomatique qui lui permettront de devenir un acteur international. Elle aura un Parlement qui partagera avec le conseil représentant les Etats la responsabilité de voter les lois communes. Ce sera un pas important vers la démocratisation de l'Union. Sans attendre que le texte entre en vigueur, les députés européens viennent d'ailleurs de montrer, en recalant la Commission Barroso, qu'ils entendaient bien user de leurs prérogatives.
Après les cérémonies de Rome, il restera à ratifier le texte. Plusieurs pays, dont la France, ont choisi la voie du référendum, qui permettra un large débat. La bataille n'est pas gagnée d'avance. Les optimistes se rassureront en pensant que les Cassandre n'ont pas toujours raison. Le représentant britannique aux négociations sur le Marché commun s'était à l'époque rendu célèbre en déclarant, pour justifier le refus de son gouvernement : le texte ne sera jamais adopté ; s'il est adopté, il ne sera jamais signé ; s'il est signé, il ne sera jamais ratifié. De Rome 1957 à Rome 2004, l'histoire lui a donné tort.
LE MONDE 29.10.04
VINGT-CINQ chefs d'Etat et de gouvernement ont signé, vendredi 29 octobre, la Constitution européenne, à Rome, sur la colline du Capitole. Au même endroit, en 1957, six premiers ministres avaient signé les traités dits de Rome qui instituaient le Marché commun.
En moins d'un demi-siècle, l'Europe unie s'est élargie. Elle a accueilli les frères séparés de l'autre côté du rideau de fer, grâce à l'effondrement du bloc communiste. Elle n'a pas seulement grandi en taille. Elle a étendu ses compétences des échanges économiques aux affaires monétaires, judiciaires, étrangères, militaires, humanitaires, sociales... Elle n'est pas encore cette Europe-puissance que les plus fervents Européens appellent de leurs vœux, mais elle se donne les moyens de le devenir.
Elle se dote en effet d'une Loi fondamentale qui est un peu moins qu'une vraie Constitution mais plus qu'un simple traité international. Elle le fait après plusieurs mois de débats au sein de la Convention qui, sous la présidence de Valéry Giscard d'Estaing, a réuni plus d'une centaine de représentants des Parlements et des gouvernements d'une trentaine de pays (les candidats ont été associés). C'était sans précédent dans l'histoire du Vieux Continent.
Certes les eurosceptiques ont tout loisir de trouver bien des défauts à cette Constitution. Pour les uns, elle va trop loin dans le sens de l'intégration en organisant le démantèlement des Etats-nations. Pour d'autres, elle est trop timide et ne propose qu'une version affadie des Etats-Unis d'Europe qu'ils souhaitent tout en les sachant irréalistes. Pour les troisièmes, elle représente le mode d'emploi de l'Europe libérale dans laquelle ils voient la fin du modèle français.
En réalité, le texte signé à Rome ne constitue qu'une étape sur la voie de l'intégration européenne, mais une étape qu'il serait irresponsable de négliger. Avec la Constitution, l'Union européenne aura une présidence stable, un ministre des affaires étrangères et un service diplomatique qui lui permettront de devenir un acteur international. Elle aura un Parlement qui partagera avec le conseil représentant les Etats la responsabilité de voter les lois communes. Ce sera un pas important vers la démocratisation de l'Union. Sans attendre que le texte entre en vigueur, les députés européens viennent d'ailleurs de montrer, en recalant la Commission Barroso, qu'ils entendaient bien user de leurs prérogatives.
Après les cérémonies de Rome, il restera à ratifier le texte. Plusieurs pays, dont la France, ont choisi la voie du référendum, qui permettra un large débat. La bataille n'est pas gagnée d'avance. Les optimistes se rassureront en pensant que les Cassandre n'ont pas toujours raison. Le représentant britannique aux négociations sur le Marché commun s'était à l'époque rendu célèbre en déclarant, pour justifier le refus de son gouvernement : le texte ne sera jamais adopté ; s'il est adopté, il ne sera jamais signé ; s'il est signé, il ne sera jamais ratifié. De Rome 1957 à Rome 2004, l'histoire lui a donné tort.
LOS VEINTICINCO RATIFICAN EN ROMA LA PRIMERA CONSTITUCIÓN EUROPEA
La rúbrica se produce en plena crisis institucional de la Comisión Europea por la inclusión de Buttiglione en la ejecutiva
ROMA.- Los jefes de Estado y de Gobierno de la Unión Europea han firmado eltexto de la primera Constitución Europea en la sala de los Orazi y los Curiazidel Capitolio romano. Este es el primer paso para la ratificación de la CartaMagna, que será sometida durante los próximos dos años a la aprobación de laciudadanía, bien mediante referendos o a través del Parlamento.
El primero de los 25 gobernantes en rubricar el Tratado fue el jefe delEjecutivo belga, Guy Verhofstadt, junto a su ministro de Exteriores, Karel DeGucht, al seguirse el orden alfabético según el idioma de cada país. En séptimo lugar firmó el presidente del Gobierno español, José Luis Rodríguez Zapatero, y el titular de Exteriores, Miguel Ángel Moratinos. Cerró el acto protocolario el primer ministro británico, Tony Blair, y suministro de Exteriores, Jack Straw.La disposición final la han suscrito también los líderes de los tres paísescandidatos a entrar en la UE: Turquía, Rumanía y Bulgaria que, junto a Croacia, están en Roma como invitados.
"Superada" la separación de Europa
La ceremonia de la firma estuvo precedida de un acto en el que tomaron lapalabra los primeros ministros de Italia, como país anfitrión, Irlanda, bajocuyo mandato se probó la Constitución, y Holanda, que ejerce la presidenciadel Consejon este semestre. Todos subrayaron que la Constitución supone el final de la división de Europa y auguraron que será un elemento básico para abordar el futuro del continente. También hablaron el presidente del Parlamento Europeo, el español JosepBorrell, y los presidentes saliente y entrante de la Comisión Europea, el italiano Romano Prodi y el portugués José Manuel Durão Barroso.
Piden que no se dé por segura la ratificación.
Estos últimos manifestaron que la ratificación de la Constitución "no se debedar por descontada". En el discurso de Durão no hubo alusiones al aplazamiento en la definición delequipo de comisarios que gobernará la UE en los próximos años, dado quealgunos sectores del Parlamento Europeo han mostrado disconformidad con variosde los nombres propuestos.Sin embargo sí apuntó que la ratificación de la Constitución no será unproceso fácil y que la responsabilidad principal es de los Gobiernos nacionales, que deben esforzarse por informar a los ciudadanos del alcance del documento.
Dar a conocer el texto
Borrell, por su parte, conminó a los gobernantes a combatir la "ignorancia" y la "indiferencia" para que la Constitución que hoy se firma en Roma la adopten como propia "con entusiasmo" los ciudadanos de toda Europa. Tras la firma, los gobernantes se harán la tradicional foto de familia en elpatio de Miguel Ángel del Palacio de los Conservadores, antes de asistir a unalmuerzo ofrecido por el presidente de la República italiana, Carlo Azeglio Ciampi, en su residencia del Quirinal.
El "Tratado por el que se instituye una Constitución para Europa" se va asometer, durante dos años, a la aprobación de los parlamentos nacionales o directamente de la ciudadanía en los países que, como España, opten por el referéndum.
El Mundo, 29/10/2004
La rúbrica se produce en plena crisis institucional de la Comisión Europea por la inclusión de Buttiglione en la ejecutiva
ROMA.- Los jefes de Estado y de Gobierno de la Unión Europea han firmado eltexto de la primera Constitución Europea en la sala de los Orazi y los Curiazidel Capitolio romano. Este es el primer paso para la ratificación de la CartaMagna, que será sometida durante los próximos dos años a la aprobación de laciudadanía, bien mediante referendos o a través del Parlamento.
El primero de los 25 gobernantes en rubricar el Tratado fue el jefe delEjecutivo belga, Guy Verhofstadt, junto a su ministro de Exteriores, Karel DeGucht, al seguirse el orden alfabético según el idioma de cada país. En séptimo lugar firmó el presidente del Gobierno español, José Luis Rodríguez Zapatero, y el titular de Exteriores, Miguel Ángel Moratinos. Cerró el acto protocolario el primer ministro británico, Tony Blair, y suministro de Exteriores, Jack Straw.La disposición final la han suscrito también los líderes de los tres paísescandidatos a entrar en la UE: Turquía, Rumanía y Bulgaria que, junto a Croacia, están en Roma como invitados.
"Superada" la separación de Europa
La ceremonia de la firma estuvo precedida de un acto en el que tomaron lapalabra los primeros ministros de Italia, como país anfitrión, Irlanda, bajocuyo mandato se probó la Constitución, y Holanda, que ejerce la presidenciadel Consejon este semestre. Todos subrayaron que la Constitución supone el final de la división de Europa y auguraron que será un elemento básico para abordar el futuro del continente. También hablaron el presidente del Parlamento Europeo, el español JosepBorrell, y los presidentes saliente y entrante de la Comisión Europea, el italiano Romano Prodi y el portugués José Manuel Durão Barroso.
Piden que no se dé por segura la ratificación.
Estos últimos manifestaron que la ratificación de la Constitución "no se debedar por descontada". En el discurso de Durão no hubo alusiones al aplazamiento en la definición delequipo de comisarios que gobernará la UE en los próximos años, dado quealgunos sectores del Parlamento Europeo han mostrado disconformidad con variosde los nombres propuestos.Sin embargo sí apuntó que la ratificación de la Constitución no será unproceso fácil y que la responsabilidad principal es de los Gobiernos nacionales, que deben esforzarse por informar a los ciudadanos del alcance del documento.
Dar a conocer el texto
Borrell, por su parte, conminó a los gobernantes a combatir la "ignorancia" y la "indiferencia" para que la Constitución que hoy se firma en Roma la adopten como propia "con entusiasmo" los ciudadanos de toda Europa. Tras la firma, los gobernantes se harán la tradicional foto de familia en elpatio de Miguel Ángel del Palacio de los Conservadores, antes de asistir a unalmuerzo ofrecido por el presidente de la República italiana, Carlo Azeglio Ciampi, en su residencia del Quirinal.
El "Tratado por el que se instituye una Constitución para Europa" se va asometer, durante dos años, a la aprobación de los parlamentos nacionales o directamente de la ciudadanía en los países que, como España, opten por el referéndum.
El Mundo, 29/10/2004
domingo, outubro 17, 2004
Tendinite nas duas mãos; dedos, pulsos e ombros com dores insuportáveis... fisioterapia 3 vezes na semana... minhas mãos limitadas com as talas para tendinite... como se fosse uma censura, um esparadrapo na minha boca, me impedindo não apenas de escrever no computador, mas no papel, * não desejo para ninguém as dores que tenho sentido. *
E é para não precisar engessar os dois braços que me afasto não apenas da internet, do blog, mas de tantas pequenas coisas... que quem está bem nem percebe estes detalhes. Até a próxima!
E é para não precisar engessar os dois braços que me afasto não apenas da internet, do blog, mas de tantas pequenas coisas... que quem está bem nem percebe estes detalhes. Até a próxima!
quarta-feira, outubro 13, 2004
domingo, setembro 26, 2004
Lagoa
Sozinha estou e sozinha estarei por mais acompanhada que esteja. A multidão não me influi, mas a sua companhia ou sua ausência são igualmente bem vindas. Rostos, corpos, cheiros, sons, vozes, paisagens complementam minha vida, alheia de todos, do mundo e de si mesma. Minha cidade e meu povo são a moldura dos quadros que pinto todos os dias. Quadros grandes ou pequenos, retratos da vida de vários ângulos e de várias vidas simultaneamente. Dias e noites não são passados em vão, sinto o amadurecimento correndo nas minhas veias, com todas as conseqüências deste fato notório e inexorável. Escrevo digitando, olhando só para as teclas e ouvindo “Chega de Saudade”, que me faz lembrar, não sei porque, a Lagoa Rodrigo de Freitas, e o quadro se pinta, sozinho, diante dos meus olhos na minha frente: logo cedo pessoas que tem condições de morar neste bairro fazendo sua caminhada matinal; passar pela lagoa à tarde indo pra algum compromisso na zona sul; a volta para casa no trânsito do fim de expediente; famílias brincando com filhos e passeando de bicicleta no fim de semana. Pessoas e paisagem entrelaçados... Um lugar belo freqüentado por pessoas bonitas, ricas e felizes...
E a solidão impera... pois a felicidade está nos momentos, como os citados anteriormente; mas a solidão é estar num desses lugares lendo um livro; pensando em alguém querido e no momento distante; ter um segredo e não poder, mesmo querendo, contar pra ninguém. Não necessariamente a solidão é triste; mas, como a felicidade, é feita de momentos... de solidão interior, de solidão externa, de quem está num lugar conversando, e em um momento se desliga e olha com outros olhos a situação que está vivendo.
Sozinha estou e sozinha sempre estarei. Para mim, a solidão é intrínseca a mim mesma. Não sei se isto é bom ou mau; mas sinto claramente que me iludo quando penso que em algum momento eu possa não estar sozinha... pois estar acompanhada é participar, se envolver, e eu não sei fazer isso... fico olhando o mundo, analisando-o, fazendo teorias, observando as pessoas e vendo o que há de tipicamente humano, masculino ou feminino, não rotulando as pessoas, mas justamente querendo retirar dos casos concretos a base para minhas teorias...
Talvez eu não saiba viver, ou ainda viver como os outros vivem. No entanto, eu já sei extrair dessa maneira que eu vivo a minha maneira de ser feliz.
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
quarta-feira, setembro 01, 2004
Esta pedra é digna.
Esta será a primeira pedra, que formará o chão do meu castelo
Esta pedra é forte
Bonita, foi esculpida
Pelas minhas próprias mãos
E fiz do meu suor o meu cimento
Meu castelo é digno.
Ele será tão forte quanto a minha crença
Tão grande quanto a minha alegria
Tão fortificado quanto a minha esperança
Tão belo quanto os meus mais longos sonhos
E abrigará todos os meus amigos
Nele acolherei aqueles que não possuem abrigo
E hospedarei os mensageiros do novo tempo
E festejaremos juntos a nossa glória
Abençoados pela nossa plena certeza
De realizarmos o Sonho
Sem guerras, sem vítimas
Nenhuma alma será prejudicada
E nossa bandeira será a mais extensa
E nosso reino durará enquanto houver
Quem durma com um sorriso nos lábios.
Esta será a primeira pedra, que formará o chão do meu castelo
Esta pedra é forte
Bonita, foi esculpida
Pelas minhas próprias mãos
E fiz do meu suor o meu cimento
Meu castelo é digno.
Ele será tão forte quanto a minha crença
Tão grande quanto a minha alegria
Tão fortificado quanto a minha esperança
Tão belo quanto os meus mais longos sonhos
E abrigará todos os meus amigos
Nele acolherei aqueles que não possuem abrigo
E hospedarei os mensageiros do novo tempo
E festejaremos juntos a nossa glória
Abençoados pela nossa plena certeza
De realizarmos o Sonho
Sem guerras, sem vítimas
Nenhuma alma será prejudicada
E nossa bandeira será a mais extensa
E nosso reino durará enquanto houver
Quem durma com um sorriso nos lábios.
quarta-feira, março 24, 2004
Do meu "Latifúndio Virtual" consta outros blogs, e esse Anelos é um espelho, ou seja, sempre que publicar algo em um Blog, coloco nos outros pro caso do servidor ficar fora do ar. Um jornal não pode se dar ao luxo de não ter notícia. Então os outros links são hospedados no weblogger e no blig, tanto o Interconexos como o Anelos, que é a contração do começo do meu primeiro nome com o fim do último sobrenome, e o poema está lá no fim da página do weblogger. Visitem o Interconexos !!!
sábado, fevereiro 28, 2004
Escrito em 18.02.04
Gostaria de dividir com vocês meu dia de hoje. Poderia ser mais um dia em que estava cheia de dores no corpo e triste. Porém não dei crédito ao desânimo e fui trabalhar. E meu dia foi repleto de um céu azul onde Deus mostrou sua face para mim através dos sorrisos das pessoas agradáveis que encontrei. E tive a confirmação que vale a pena defender minhas convicções, de ser uma pessoa boa, sem usar mentiras e trapaças na minha vida pessoal e profissional; que colhemos o que plantamos; e estou muito satisfeita de, aos poucos, ir plantando sorrisos, apertos de mão e esclarecimentos sobre meu trabalho, o qual me permite ser eu mesma, de forma a me realizar profissionalmente. Posso até não obter em retorno uma grande quantia financeira; no entanto, esclarecer meu povo, brancos e negros, simples e humildes, independendo de classe social, acerca da situação do Brasil, o cenário internacional, a necessidade do nosso país para a formação de mão-de-obra capacitada e especializada para defender e e representar o Brasil no mundo, dentro do pouco que sei, do muito que tenho que aprender, tudo isto me faz feliz e realizada. E como quando as pessoas estão tristes ou sabem uma má notícia logo divulgam, precisava espalhar aos quatro ventos minha felicidade. Que bom seria se pudesse dar da minha alegria e paz de espírito a todos, como algo palpável, físico; não sendo possível, desejo que minhas palavras, que são o meu principal meio de trabalho, alcancem esse efeito desejado em vocês.
Gostaria de dividir com vocês meu dia de hoje. Poderia ser mais um dia em que estava cheia de dores no corpo e triste. Porém não dei crédito ao desânimo e fui trabalhar. E meu dia foi repleto de um céu azul onde Deus mostrou sua face para mim através dos sorrisos das pessoas agradáveis que encontrei. E tive a confirmação que vale a pena defender minhas convicções, de ser uma pessoa boa, sem usar mentiras e trapaças na minha vida pessoal e profissional; que colhemos o que plantamos; e estou muito satisfeita de, aos poucos, ir plantando sorrisos, apertos de mão e esclarecimentos sobre meu trabalho, o qual me permite ser eu mesma, de forma a me realizar profissionalmente. Posso até não obter em retorno uma grande quantia financeira; no entanto, esclarecer meu povo, brancos e negros, simples e humildes, independendo de classe social, acerca da situação do Brasil, o cenário internacional, a necessidade do nosso país para a formação de mão-de-obra capacitada e especializada para defender e e representar o Brasil no mundo, dentro do pouco que sei, do muito que tenho que aprender, tudo isto me faz feliz e realizada. E como quando as pessoas estão tristes ou sabem uma má notícia logo divulgam, precisava espalhar aos quatro ventos minha felicidade. Que bom seria se pudesse dar da minha alegria e paz de espírito a todos, como algo palpável, físico; não sendo possível, desejo que minhas palavras, que são o meu principal meio de trabalho, alcancem esse efeito desejado em vocês.
sexta-feira, fevereiro 13, 2004
Sabe quando se tem um sonho, bem no fundo da alma, bem improvável e impossível, e quando menos se espera, no virar de uma esquina, voc6e se depara com o objeto de seus mais profundos desejos... qual sua reação? Pavor diante do inesperado realizado a sua frente. E basta esticar o braço e tocar a realidade superveniente do destino. Como não sentir medo? Como sacudir essa paralisia que assola o corpo enquanto o coração dispara?
Sonho muito alto e muito distante, será que o medo é a única passagem para o abismo que vislumbro em meus voôs? Como direcionar o poder do pensamento de forma a me realizar e nunca prejudicar ninguém?
Ah, insensato coração que não se contém diante da possibilidade fremente de manter meu palito de fósforo aceso enquando flamula ao ar inúmeros pontinhos de pessoas dispersas e um pouco desconexas que almejam iluminar o caminho do progresso da humanidade.
Sonho muito alto e muito distante, será que o medo é a única passagem para o abismo que vislumbro em meus voôs? Como direcionar o poder do pensamento de forma a me realizar e nunca prejudicar ninguém?
Ah, insensato coração que não se contém diante da possibilidade fremente de manter meu palito de fósforo aceso enquando flamula ao ar inúmeros pontinhos de pessoas dispersas e um pouco desconexas que almejam iluminar o caminho do progresso da humanidade.
domingo, fevereiro 08, 2004
Em virtude do presente encerramento da minha atividade literária, usarei este espaço para análise de filmes e comentários gerais do cotidiano.
Dois excelentes filmes: O Declínio do Império Americano e Invasões Bárbaras, não se sabendo qual o melhor.
Encontros e Desencontros frustrou de forma geral o público, tive que comentar que o filme é "de grife" e por isso o estranhamento. No fim das contas, achei que o filme é bom por justamente conseguir passar o mal-estar dos personagens. Me lembrou muito "Janela da Alma" ; é quase um documentário.
Dois excelentes filmes: O Declínio do Império Americano e Invasões Bárbaras, não se sabendo qual o melhor.
Encontros e Desencontros frustrou de forma geral o público, tive que comentar que o filme é "de grife" e por isso o estranhamento. No fim das contas, achei que o filme é bom por justamente conseguir passar o mal-estar dos personagens. Me lembrou muito "Janela da Alma" ; é quase um documentário.
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